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CELLULES IMMUNITAIRES – IMMUNITÉ
# 5891
Cellules immunitaires, actrices de l’immunité innée et adaptative.
Quand un micro-organisme ou microbe (virus, bactérie…) pénètre les barrières de l’organisme (peau, muqueuses),
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[peekaboo_content]cette invasion de corps étrangers déclenche les défenses du système immunitaire. Dans un premier temps, l’immunité innée (à gauche du dessin) agit immédiatement. Cette première réaction immunitaire arrête la progression et le développement des microbes dans l’organisme. Macrophages, cellules dendritiques et neutrophiles sont des acteurs de l’immunité innée. Les macrophages (en vert bleuté) détruisent les microbes par phagocytose et produisent des cytokines. Ces cytokines appellent les neutrophiles (entre autre) pour lutter également contre les microbes.
Mais ces cytokines conduisent également les macrophages et les cellules dendritiques vers les ganglions lymphatiques (flèches blanches).
Si malgré tout, les microbes prolifèrent et se répandent dans l’organisme, l’immunité adaptative rentre en scène (à droite du dessin).
Les cellules dendritiques et les macrophages présentent les antigènes des microbes aux lymphocytes B ( en bleu) et T ( en violet). Il existe 4 sortes de lymphocytes T.
D’une part, les lymphocytes T cytotoxiques (killer) tuent les cellules infectées (en rose). D’autre part, les lymphocytes T auxiliaires (helper) stimulent les lymphocytes B et T (flèche blanche). Puis les lymphocytes T mémoires (memory) répondront rapidement à la prochaine invasion du même microbe. Alors que les lymphocytes T régulateurs (cellule violette bleutée) inhibent les cellules B et T une fois que le danger est passé (flèches noires).
Les lymphocytes B donnent deux types de lymphocytes. Les lymphocytes B mémoires répondent rapidement à une invasion microbienne future. Et les plasmocytes produisent des anticorps qui se fixent aux microbes. Les anticorps sont aussi relâchés dans la circulation sanguine. Ce qui permet de voir si l’organisme a été en contact avec un microbe grâce à une prise de sang.
Donc ces anticorps neutraliseront directement les microbes ou marqueront une cellule infectée afin que celle-ci soit prise en charge par d’autres cellules immunitaires comme les macrophages.
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Afficher les images de la série « Immunité-Inflammation »
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IMMUNITÉ INNÉE – IMMUNITÉ ADAPTATIVE
# 5890
Immunité innée et immunité adaptative, les défenses du système immunitaire.
Quand un micro-organisme ou microbe (virus, bactérie…) pénètre les barrières de l’organisme (peau, muqueuses)
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[peekaboo_content] l’immunité innée (à gauche du dessin) agit immédiatement. Cette première réaction immunitaire arrête la progression et le développement des microbes dans l’organisme. Macrophages, cellules dendritiques et neutrophiles sont des acteurs de l’immunité innée. Les macrophages (en vert bleuté) détruisent les microbes par phagocytose et produisent des cytokines. Ces cytokines appellent les neutrophiles (entre autre) pour lutter également contre les microbes.
Mais ces cytokines conduisent également les macrophages et les cellules dendritiques vers les ganglions lymphatiques (flèches blanches).
Si malgré tout, les microbes prolifèrent et se répandent dans l’organisme, l’immunité adaptative rentre en scène (à droite du dessin).
Les cellules dendritiques et les macrophages présentent les antigènes des microbes aux lymphocytes B ( en bleu) et T ( en violet). Il existe 4 sortes de lymphocytes T.
D’une part, les lymphocytes T cytotoxiques (killer) tuent les cellules infectées (en rose). D’autre part, les lymphocytes T auxiliaires (helper) stimulent les lymphocytes B et T (flèche blanche). Puis les lymphocytes T mémoires (memory) répondront rapidement à la prochaine invasion du même microbe. Alors que les lymphocytes T régulateurs (cellule violette bleutée) inhibent les cellules B et T une fois que le danger est passé (flèches noires).
Les lymphocytes B donnent deux types de lymphocytes. Les lymphocytes B mémoires répondent rapidement à une invasion microbienne future. Et les plasmocytes produisent des anticorps qui se fixent aux microbes. Les anticorps sont aussi relâchés dans la circulation sanguine. Ce qui permet de voir si l’organisme a été en contact avec un microbe grâce à une prise de sang.
Donc ces anticorps neutraliseront directement les microbes ou marqueront une cellule infectée afin que celle-ci soit prise en charge par d’autres cellules immunitaires comme les macrophages.
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Afficher les images de la série « Immunité-Inflammation »
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POTENTIALISATION À LONG TERME
# 5016
Représentation de la transmission des informations avec potentialisation à long terme, ce qui expliquerait le mécanisme de la mémoire.
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Un plus grand nombre d'ions sodium (boules bleues) entrent dans le neurone B, augmentant la rapidité et l'intensité de la transmission du signal électrique d'un neurone à l'autre, de plus cela permet également le passage d'ion calcium (boules rouges), augmentant l'intensité du signal.
Le souvenir est ravivé immédiatement.
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POTENTIALISATION À LONG TERME
# 5015
Représentation de la transmission des informations avec potentialisation à long terme, ce qui expliquerait le mécanisme de la mémoire.
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L'activation des neurones augmente la quantité de neurotransmetteurs du neurone A et multiple le nombre de canaux ioniques en surface du neurone B.
Un plus grand nombre de neurotransmetteurs est largué dans l'espace inter-synaptiques, qui pourra ouvrir un plus grand nombre de canaux ioniques.
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