cathéter
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INSUFFISANCE OVARIENNE – TRAITEMENT
# 5770
Deux types de traitements contre l’insuffisance ovarienne.
À chaque âge son traitements contre l’insuffisance ovarienne. Jeune, on effectue une fragmentation ovarienne, plus âgée, une greffe de moelle osseuse.
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[peekaboo_content]Pour les femmes jeunes souffrant d’une insuffisance ovarienne prématurée (follicules dormants), on procède à une fragmentation ovarienne, chirurgie des ovaires, pour réveiller les follicules dormants.
Une sonde (en blanc sur le dessin) est introduite dans l’utérus pour prélever un fragment de cortex ovarien. Ce fragment de cortex ovarien a ensuite été découpé, afin de stimuler les follicules dormants. Ces follicules stimulés sont réimplantés dans les ovaires de la patiente. La seconde méthode concerne des femmes plus âgées dont le capital folliculaire ovarien ne leur permet pas d’obtenir des ovocytes. Pour éviter d’avoir recours au don d’ovocytes, on effectue une greffe de cellules souches de moelle osseuse par injection pour compenser le vieillissement ovarien. L’injection se réalise grâce à un cathéter (représenté en noir sur ce dessin) introduit jusqu’à l’artère ovarienne. Ce cathéter est introduit par voie fémorale jusqu’à la jonction entre l’artère iliaque externe et interne. Là il prend le chemin de l’artère utérine pour aboutir à la branche ovarienne interne qui s’anastomose avec l’artère ovarienne.
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CHAMBRE IMPLANTABLE
# 5501
Représentation d'une chambre implantable percutanée mise en place dans le cas du traitement médicamenteux de la leucémie lymphoïde chronique.
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[peekaboo_content]Elle permettra l'administration du traitement par intraveineuse injecté directement dans la chambre située sous la peau et reliée à un cathéter placé dans une veine, ici la veine sub-clavière droite jusqu'à la veine cave supérieure.
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EMBOLISATION PROSTATE
# 5206
Représentation de l'embolisation artérielle de la prostate, une technique pour traiter sans opération les problèmes d'hypertrophie prostatique bénigne (adénome de la prostate).
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[peekaboo_content]
Alors qu'une sonde urinaire est introduite par l'urètre afin de visualiser le centre de la prostate, un cathéter est introduit par l'artère fémorale droite, remonte vers le haut et la gauche jusqu'à l'artère iliaque commune, puis redescend du côté gauche par l'artère iliaque interne gauche, l'artère honteuse interne gauche pour aboutir aux artères prostatiques en arrière de la prostate.
Là, des micro billes résorbables vont être injectées dans les artérioles prostatiques, jusqu'au centre de la prostate, afin d’obstruer ces dernières.
La taille de la prostate diminue progressivement à partir de 6 à 10 jours jusqu'à 5 à 6 semaines.
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Domaine d'exclusion d'utilisation : Aucune exclusion
EMBOLISATION PROSTATE
# 5204
Représentation de l'embolisation artérielle de la prostate, une technique pour traiter sans opération les problèmes d'hypertrophie prostatique bénigne (adénome de la prostate).
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Alors qu'une sonde urinaire est introduite par l'urètre afin de visualiser le centre de la prostate, un cathéter est introduit par l'artère fémorale droite, remonte vers le haut et la gauche jusqu'à l'artère iliaque commune, puis redescend du côté gauche par l'artère iliaque interne gauche, l'artère honteuse interne gauche pour aboutir aux artères prostatiques en arrière de la prostate.
Là, des micro billes résorbables vont être injectées dans les artérioles prostatiques, jusqu'au centre de la prostate, afin d’obstruer ces dernières.
La taille de la prostate diminue progressivement à partir de 6 à 10 jours jusqu'à 5 à 6 semaines.
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