Spécialités Médicales - Immunologie / Épidémiologie
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LUPUS
# 4276
Représentation des organes touchés par cette maladie chronique auto-immune qu'est le lupus érythémateux systémique.
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Le lupus est une maladie qui implique le système immunitaire qui s'attaque aux cellules de son propre organisme, et qui peut toucher toutes les parties du corps.
Le nom de la maladie est dû au masque de loup caractéristique sur le visage.
Les symptômes sont :
– fièvre, fatigue, état dépressif
– plaques rouges en forme de masque de loup
– troubles respiratoires
– arythmie, insuffisance cardiaque
– inflammation des reins
– sensibilité au soleil
– douleurs musculaires
– gonflement des articulations.
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CELLULES IMMUNITAIRES INFECTÉES PAR LE VIH
# 4228
Représentation de la localisation des cellules immunitaires infectées par le VIH.
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L’infection virale est très dynamique car les cellules immunitaires circulent dans tout l’organisme et sont disséminées dans tous les tissus.
– Les tissus lymphoïdes, les ganglions et le tube digestif ont un niveau
d’infection et de réplication élevé.
– Des lymphocytes TCD4+ infectées et des particules virales sont aussi présents dans les poumons, la rate, le thymus et le cerveau.
– L’infection virale est facilement détectée dans les compartiments
génitaux masculins et féminins, non seulement à l’état de cellules réservoirs mais aussi à l’état de particules virales infectieuses à l’origine des contaminations par voie sexuelle.
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AUTO-ENTRETIENT VIH
# 4227
Représentation de l'auto-entretient de l'infection du VIH.
Le virus du sida (en vert) qui a pénétré dans le vaisseau sanguin infecte et intègre son génome aux lymphocytes T inactifs (en rosé à droite du dessin).
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Cela déclenche l'apoptose des lymphocytes T infectés (lymphocytes morts en marron) qui normalement constituent la barrière immunitaire empêchant le passage des bactéries de l'intestin vers la circulation sanguine.
Les bactéries peuvent donc atteindre, via le réseau sanguin, d'autres régions du corps et déclenchent des réactions inflammatoires dans divers organes.
De plus, les macrophages (en rosé à gauche du dessin), en contact avec d'autres virus que celui du sida, présentent l'antigène détecté de ces autres virus, aux lymphocytes T infectés (en gris bleu). Ces derniers se multiplient, déclenchant la réplication du virus.
La boucle est bouclée, l'organisme auto-entretient l'infection.
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TRANSMISSION DU PALUDISME
# 4455
Représentation de la deuxième phase de transmission de paludisme d'un organisme à un autre organisme.
Ici, le parasite (mérozoïtes) est véhiculé dans le réseau sanguin jusqu'aux poumons,
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où la veille immunitaire est moindre et le débit sanguin plus lent. Ils sortent de leur enveloppe formée dans le foie en la faisant exploser. Ils pénètrent à l'intérieur des globules rouges, transporteurs ultra rapides, qui vont leur permettre d'éviter la rate filtratrice de la façon suivante; les mérozoïdes produisent des protéines membranaires qui se fixent à la membrane des globules rouges leur permettant de se fixer aux récepteurs membranaires de la paroi du vaisseau sanguin. Bien à l'abri, ils prolifèrent jusqu'à faire exploser la membrane des globules au bout de 48H, se répandent dans le sang et vont vite parasiter d'autres globules rouges pour proliférer à nouveau. Résultat, au bout de chaque cycle de 48H, la réaction immunitaire se met en marche et la personne a de la fièvre, au bout de quelques cycles, la personne est fatiguée car les globules ne transportent plus assez d'oxygène, et les résidus de globules collés aux parois des vaisseaux risquent de les obstruer et de provoquer le coma, voir la mort de la personne infectée. À chaque cycle, certains mérozoïtes se transforment en gamètes sexués, mâles ou femelles, qui s'accrochent aux parois des vaisseaux sanguins proches de la peau en attendant la saison des pluies, afin de pouvoir pénétrer dans l'estomac d'un nouveau moustique qui vient piquer la personne infectée. Ainsi dans l'estomac d'un nouveau moustique, ces mérozoïtes gamètes s'accouplent et donnent de nouveaux sporozoïtes transmis à un autre organisme humain par la salive du moustique lors de la piqure. Et la maladie est propagée d'un organisme à un autre.
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TRANSMISSION DU PALUDISME
# 4454
Représentation de la première phase de la transmission du paludisme dans l'organisme humain.
Un moustique femelle porteur du parasite (plasmodium) responsable du paludisme pique une personne saine,
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et lui transmet le parasite (présent dans ses glandes salivaires). À ce stade, le parasite est sous forme de sporozoïtes qui glissent à travers les cellules de peau jusqu'à un vaisseau sanguin. De là, ils seront amenés au foie. Grâce à des protéines membranaires, les sporozoïtes se fichent dans les cellules du foie, et se transforment en mérozoïtes, pour s'y multiplier.
Afin d'éviter d'être détruits par les macrophages, les mérozoïtes leurrent l'organisme en sortant des cellules du foie entouré d'une partie de leur membrane et rejoignent la circulation sanguine jusqu'aux poumons où la veille immunitaire est moindre et le débit sanguin plus lent.. Les macrophages les prennent pour des cellules normales alors qu'en fait, ces membranes sont remplies de mérozoïtes.
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PROLIFÉRATION DES MÉROZOÏTES
# 4453
Représentation de la prolifération des mérozoïtes en se servant des globules rouges.
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Ils pénètrent à l'intérieur des globules rouges, transporteurs ultra rapides qui vont leur permettre d'éviter la rate filtratrice de la façon suivante; les mérozoïtes produisent des protéines membranaires qui se fixent à la membrane des globules rouges leur permettant de se fixer aux récepteurs membranaires de la paroi du vaisseau sanguin. Bien à l'abri, ils prolifèrent jusqu'à faire exploser la membrane des globules au bout de 48H, se répandent dans le sang et vont vite parasiter d'autres globules rouges pour proliférer à nouveau.
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PALUDISME SPOROZOÏTES MÉROZOÏTES
# 4452
Représentation de la transformation des sporozoïtes en mérozoïtes dans le foie, refuge du parasite du paludisme.
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Grâce à des protéines membranaires, les sporozoïtes se fichent dans les cellules du foie, et se transforment en mérozoïtes, pour s'y reproduire.
Afin d'éviter d'être détruits par les macrophages, les mérozoïtes leurrent l'organisme en sortant des cellules du foie entouré d'une partie de leur membrane et rejoignent la circulation sanguine.
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TRANSMISSION DU PALUDISME
# 4448
Représentation de la première phase de la transmission du paludisme dans l'organisme humain.
Un moustique femelle porteur du parasite (plasmodium) responsable du paludisme pique une personne saine,
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et lui transmet le parasite (présent dans ses glandes salivaires). À ce stade, le parasite est sous forme de sporozoïtes qui glissent à travers les cellules de peau jusqu'à un vaisseau sanguin. De là, ils seront amenés au foie. Grâce à des protéines membranaires, les sporozoïtes se fichent dans les cellules du foie, et se transforment en mérozoïtes, pour s'y multiplient.
Afin d'éviter d'être détruits par les macrophages, les mérozoïtes leurrent l'organisme en sortant des cellules du foie entouré d'une partie de leur membrane et rejoignent la circulation sanguine jusqu'aux poumons où la veille immunitaire est moindre et le débit sanguin plus lent.. Les macrophages les prennent pour des cellules normales alors qu'en fait, ces membranes sont remplies de mérozoïtes.
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TRANSMISSION DU PALUDISME
# 3956
Représentation de la deuxième phase de transmission du paludisme d'un organisme à un autre organisme.
Ici, le parasite (mérozoïtes) est véhiculé dans le réseau sanguin jusqu'aux poumons,
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RÉPLICATION DES RÉTROVIRUS
# 3639
Représentation de la pénétration et de la réplication d'un rétrovirus type Sida grâce à une cellule hôte.
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[peekaboo_content]Le virus pénètre dans la cellule, son code génétique se fixe à l'ADN de la cellule ce qui oblige cette dernière à fabriquer tous les éléments constituant le virus.
Ces éléments se rassemblent à la surface de la cellule hôte pour former de nouveaux virus en grande quantité qui envahissent l'organisme hôte.
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