maladie tropicale
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TRANSMISSION DU PALUDISME
# 4455
Représentation de la deuxième phase de transmission de paludisme d'un organisme à un autre organisme.
Ici, le parasite (mérozoïtes) est véhiculé dans le réseau sanguin jusqu'aux poumons,
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où la veille immunitaire est moindre et le débit sanguin plus lent. Ils sortent de leur enveloppe formée dans le foie en la faisant exploser. Ils pénètrent à l'intérieur des globules rouges, transporteurs ultra rapides, qui vont leur permettre d'éviter la rate filtratrice de la façon suivante; les mérozoïdes produisent des protéines membranaires qui se fixent à la membrane des globules rouges leur permettant de se fixer aux récepteurs membranaires de la paroi du vaisseau sanguin. Bien à l'abri, ils prolifèrent jusqu'à faire exploser la membrane des globules au bout de 48H, se répandent dans le sang et vont vite parasiter d'autres globules rouges pour proliférer à nouveau. Résultat, au bout de chaque cycle de 48H, la réaction immunitaire se met en marche et la personne a de la fièvre, au bout de quelques cycles, la personne est fatiguée car les globules ne transportent plus assez d'oxygène, et les résidus de globules collés aux parois des vaisseaux risquent de les obstruer et de provoquer le coma, voir la mort de la personne infectée. À chaque cycle, certains mérozoïtes se transforment en gamètes sexués, mâles ou femelles, qui s'accrochent aux parois des vaisseaux sanguins proches de la peau en attendant la saison des pluies, afin de pouvoir pénétrer dans l'estomac d'un nouveau moustique qui vient piquer la personne infectée. Ainsi dans l'estomac d'un nouveau moustique, ces mérozoïtes gamètes s'accouplent et donnent de nouveaux sporozoïtes transmis à un autre organisme humain par la salive du moustique lors de la piqure. Et la maladie est propagée d'un organisme à un autre.
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TRANSMISSION DU PALUDISME
# 4454
Représentation de la première phase de la transmission du paludisme dans l'organisme humain.
Un moustique femelle porteur du parasite (plasmodium) responsable du paludisme pique une personne saine,
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et lui transmet le parasite (présent dans ses glandes salivaires). À ce stade, le parasite est sous forme de sporozoïtes qui glissent à travers les cellules de peau jusqu'à un vaisseau sanguin. De là, ils seront amenés au foie. Grâce à des protéines membranaires, les sporozoïtes se fichent dans les cellules du foie, et se transforment en mérozoïtes, pour s'y multiplier.
Afin d'éviter d'être détruits par les macrophages, les mérozoïtes leurrent l'organisme en sortant des cellules du foie entouré d'une partie de leur membrane et rejoignent la circulation sanguine jusqu'aux poumons où la veille immunitaire est moindre et le débit sanguin plus lent.. Les macrophages les prennent pour des cellules normales alors qu'en fait, ces membranes sont remplies de mérozoïtes.
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PROLIFÉRATION DES MÉROZOÏTES
# 4453
Représentation de la prolifération des mérozoïtes en se servant des globules rouges.
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Ils pénètrent à l'intérieur des globules rouges, transporteurs ultra rapides qui vont leur permettre d'éviter la rate filtratrice de la façon suivante; les mérozoïtes produisent des protéines membranaires qui se fixent à la membrane des globules rouges leur permettant de se fixer aux récepteurs membranaires de la paroi du vaisseau sanguin. Bien à l'abri, ils prolifèrent jusqu'à faire exploser la membrane des globules au bout de 48H, se répandent dans le sang et vont vite parasiter d'autres globules rouges pour proliférer à nouveau.
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PALUDISME SPOROZOÏTES MÉROZOÏTES
# 4452
Représentation de la transformation des sporozoïtes en mérozoïtes dans le foie, refuge du parasite du paludisme.
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Grâce à des protéines membranaires, les sporozoïtes se fichent dans les cellules du foie, et se transforment en mérozoïtes, pour s'y reproduire.
Afin d'éviter d'être détruits par les macrophages, les mérozoïtes leurrent l'organisme en sortant des cellules du foie entouré d'une partie de leur membrane et rejoignent la circulation sanguine.
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TRANSMISSION DU PALUDISME
# 4448
Représentation de la première phase de la transmission du paludisme dans l'organisme humain.
Un moustique femelle porteur du parasite (plasmodium) responsable du paludisme pique une personne saine,
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et lui transmet le parasite (présent dans ses glandes salivaires). À ce stade, le parasite est sous forme de sporozoïtes qui glissent à travers les cellules de peau jusqu'à un vaisseau sanguin. De là, ils seront amenés au foie. Grâce à des protéines membranaires, les sporozoïtes se fichent dans les cellules du foie, et se transforment en mérozoïtes, pour s'y multiplient.
Afin d'éviter d'être détruits par les macrophages, les mérozoïtes leurrent l'organisme en sortant des cellules du foie entouré d'une partie de leur membrane et rejoignent la circulation sanguine jusqu'aux poumons où la veille immunitaire est moindre et le débit sanguin plus lent.. Les macrophages les prennent pour des cellules normales alors qu'en fait, ces membranes sont remplies de mérozoïtes.
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Domaine d'exclusion d'utilisation : Aucune
TRANSMISSION DU PALUDISME
# 3956
Représentation de la deuxième phase de transmission du paludisme d'un organisme à un autre organisme.
Ici, le parasite (mérozoïtes) est véhiculé dans le réseau sanguin jusqu'aux poumons,
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où la veille immunitaire est moindre et le débit sanguin plus lent. Ils sortent de leur enveloppe formée dans le foie en la faisant exploser. Ils pénètrent à l'intérieur des globules rouges, transporteurs ultra rapides, qui vont leur permettre d'éviter la rate filtratrice de la façon suivante; les mérozoïdes produisent des protéines membranaires qui se fixent à la membrane des globules rouges leur permettant de se fixer aux récepteurs membranaires de la paroi du vaisseau sanguin. Bien à l'abri, ils prolifèrent jusqu'à faire exploser la membrane des globules au bout de 48H, se répandent dans le sang et vont vite parasiter d'autres globules rouges pour proliférer à nouveau. Résultat, au bout de chaque cycle de 48H, la réaction immunitaire se met en marche et la personne a de la fièvre, au bout de quelques cycles, la personne est fatiguée car les globules ne transportent plus assez d'oxygène, et les résidus de globules collés aux parois des vaisseaux risquent de les obstruer et de provoquer le coma, voir la mort de la personne infectée. À chaque cycle, certains mérozoïtes se transforment en gamètes sexués, mâles ou femelles, qui s'accrochent aux parois des vaisseaux sanguins proches de la peau en attendant la saison des pluies, afin de pouvoir pénétrer dans l'estomac d'un nouveau moustique qui vient piquer la personne infectée. Ainsi dans l'estomac d'un nouveau moustique, ces mérozoïtes gamètes s'accouplent et donnent de nouveaux sporozoïtes transmis à un autre organisme humain par la salive du moustique lors de la piqure. Et la maladie est propagée d'un organisme à un autre.
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