Spécialités Médicales - Divers
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AUTOPALPATION DU SEIN
# 3980
Représentation de l'autopalpation du sein pour détecter les grosseurs éventuelles en vue du dépistage du cancer du sein.
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Domaine d'exclusion d'utilisation : Aucune
TRANSMISSION DU PALUDISME
# 4455
Représentation de la deuxième phase de transmission de paludisme d'un organisme à un autre organisme.
Ici, le parasite (mérozoïtes) est véhiculé dans le réseau sanguin jusqu'aux poumons,
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où la veille immunitaire est moindre et le débit sanguin plus lent. Ils sortent de leur enveloppe formée dans le foie en la faisant exploser. Ils pénètrent à l'intérieur des globules rouges, transporteurs ultra rapides, qui vont leur permettre d'éviter la rate filtratrice de la façon suivante; les mérozoïdes produisent des protéines membranaires qui se fixent à la membrane des globules rouges leur permettant de se fixer aux récepteurs membranaires de la paroi du vaisseau sanguin. Bien à l'abri, ils prolifèrent jusqu'à faire exploser la membrane des globules au bout de 48H, se répandent dans le sang et vont vite parasiter d'autres globules rouges pour proliférer à nouveau. Résultat, au bout de chaque cycle de 48H, la réaction immunitaire se met en marche et la personne a de la fièvre, au bout de quelques cycles, la personne est fatiguée car les globules ne transportent plus assez d'oxygène, et les résidus de globules collés aux parois des vaisseaux risquent de les obstruer et de provoquer le coma, voir la mort de la personne infectée. À chaque cycle, certains mérozoïtes se transforment en gamètes sexués, mâles ou femelles, qui s'accrochent aux parois des vaisseaux sanguins proches de la peau en attendant la saison des pluies, afin de pouvoir pénétrer dans l'estomac d'un nouveau moustique qui vient piquer la personne infectée. Ainsi dans l'estomac d'un nouveau moustique, ces mérozoïtes gamètes s'accouplent et donnent de nouveaux sporozoïtes transmis à un autre organisme humain par la salive du moustique lors de la piqure. Et la maladie est propagée d'un organisme à un autre.
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Domaine d'exclusion d'utilisation : Aucune
TRANSMISSION DU PALUDISME
# 4454
Représentation de la première phase de la transmission du paludisme dans l'organisme humain.
Un moustique femelle porteur du parasite (plasmodium) responsable du paludisme pique une personne saine,
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et lui transmet le parasite (présent dans ses glandes salivaires). À ce stade, le parasite est sous forme de sporozoïtes qui glissent à travers les cellules de peau jusqu'à un vaisseau sanguin. De là, ils seront amenés au foie. Grâce à des protéines membranaires, les sporozoïtes se fichent dans les cellules du foie, et se transforment en mérozoïtes, pour s'y multiplier.
Afin d'éviter d'être détruits par les macrophages, les mérozoïtes leurrent l'organisme en sortant des cellules du foie entouré d'une partie de leur membrane et rejoignent la circulation sanguine jusqu'aux poumons où la veille immunitaire est moindre et le débit sanguin plus lent.. Les macrophages les prennent pour des cellules normales alors qu'en fait, ces membranes sont remplies de mérozoïtes.
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Domaine d'exclusion d'utilisation : Aucune
PROLIFÉRATION DES MÉROZOÏTES
# 4453
Représentation de la prolifération des mérozoïtes en se servant des globules rouges.
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Ils pénètrent à l'intérieur des globules rouges, transporteurs ultra rapides qui vont leur permettre d'éviter la rate filtratrice de la façon suivante; les mérozoïtes produisent des protéines membranaires qui se fixent à la membrane des globules rouges leur permettant de se fixer aux récepteurs membranaires de la paroi du vaisseau sanguin. Bien à l'abri, ils prolifèrent jusqu'à faire exploser la membrane des globules au bout de 48H, se répandent dans le sang et vont vite parasiter d'autres globules rouges pour proliférer à nouveau.
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Domaine d'exclusion d'utilisation : Aucune
PALUDISME SPOROZOÏTES MÉROZOÏTES
# 4452
Représentation de la transformation des sporozoïtes en mérozoïtes dans le foie, refuge du parasite du paludisme.
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Grâce à des protéines membranaires, les sporozoïtes se fichent dans les cellules du foie, et se transforment en mérozoïtes, pour s'y reproduire.
Afin d'éviter d'être détruits par les macrophages, les mérozoïtes leurrent l'organisme en sortant des cellules du foie entouré d'une partie de leur membrane et rejoignent la circulation sanguine.
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Domaine d'exclusion d'utilisation : Aucune
TRANSMISSION DU PALUDISME
# 4448
Représentation de la première phase de la transmission du paludisme dans l'organisme humain.
Un moustique femelle porteur du parasite (plasmodium) responsable du paludisme pique une personne saine,
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et lui transmet le parasite (présent dans ses glandes salivaires). À ce stade, le parasite est sous forme de sporozoïtes qui glissent à travers les cellules de peau jusqu'à un vaisseau sanguin. De là, ils seront amenés au foie. Grâce à des protéines membranaires, les sporozoïtes se fichent dans les cellules du foie, et se transforment en mérozoïtes, pour s'y multiplient.
Afin d'éviter d'être détruits par les macrophages, les mérozoïtes leurrent l'organisme en sortant des cellules du foie entouré d'une partie de leur membrane et rejoignent la circulation sanguine jusqu'aux poumons où la veille immunitaire est moindre et le débit sanguin plus lent.. Les macrophages les prennent pour des cellules normales alors qu'en fait, ces membranes sont remplies de mérozoïtes.
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TRANSMISSION DU PALUDISME
# 3956
Représentation de la deuxième phase de transmission du paludisme d'un organisme à un autre organisme.
Ici, le parasite (mérozoïtes) est véhiculé dans le réseau sanguin jusqu'aux poumons,
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où la veille immunitaire est moindre et le débit sanguin plus lent. Ils sortent de leur enveloppe formée dans le foie en la faisant exploser. Ils pénètrent à l'intérieur des globules rouges, transporteurs ultra rapides, qui vont leur permettre d'éviter la rate filtratrice de la façon suivante; les mérozoïdes produisent des protéines membranaires qui se fixent à la membrane des globules rouges leur permettant de se fixer aux récepteurs membranaires de la paroi du vaisseau sanguin. Bien à l'abri, ils prolifèrent jusqu'à faire exploser la membrane des globules au bout de 48H, se répandent dans le sang et vont vite parasiter d'autres globules rouges pour proliférer à nouveau. Résultat, au bout de chaque cycle de 48H, la réaction immunitaire se met en marche et la personne a de la fièvre, au bout de quelques cycles, la personne est fatiguée car les globules ne transportent plus assez d'oxygène, et les résidus de globules collés aux parois des vaisseaux risquent de les obstruer et de provoquer le coma, voir la mort de la personne infectée. À chaque cycle, certains mérozoïtes se transforment en gamètes sexués, mâles ou femelles, qui s'accrochent aux parois des vaisseaux sanguins proches de la peau en attendant la saison des pluies, afin de pouvoir pénétrer dans l'estomac d'un nouveau moustique qui vient piquer la personne infectée. Ainsi dans l'estomac d'un nouveau moustique, ces mérozoïtes gamètes s'accouplent et donnent de nouveaux sporozoïtes transmis à un autre organisme humain par la salive du moustique lors de la piqure. Et la maladie est propagée d'un organisme à un autre.
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TRAÇABILITÉ
# 3766
Représentation en vignette d'un livret pour hémophile, traçabilité d'un paquet de biscuit, d'un flacon, de biscuits, d'une usine, d'une usine de biscuits, de plasmides, de sacs de farine, de flacons, d'un champs de blé.
Afficher les images de la série « Hémophilie »
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Domaines d'exclusion d'utilisation : Aucuns
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LAVAGE DES MAINS
# 3800
Représentation du lavage des mains, nettoyage entre les doigts avec du savon
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Attention petit format
Domaine d'exclusion d'utilisation : Aucune
CONTÔLE DE LA SÉROTONINE
# 634
Représentation du contrôle de la sérotonine (neurotransmetteur, stimulateur de l'humeur) dans l'espace inter-synaptiques des neurones sérotoninergiques.
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Linflux nerveux est transmis entre deux synapses grâce à la sérotonine (boules grenat) contenue dans les vésicules.
À la surface de la synapse, ces vésicules larguent la sérotonine qui vient se fixer aux récepteurs en jaune du bouton synaptique du neurone post-synaptique.
Le neurone pré-synaptique possède deux types de molécules qui contrôlent la concentration de sérotonine dans la fente synaptique :
– l'auto-récepteur en rose envoie un signal stop qui freine toute nouvelle libération de sérotinine par les vésicules, mécanisme de rétroaction négative.
– le transporteur de la recapture en orange diminue la concentration de sérotonine synaptique.
Dans le cas de dépression, le taux de sérotonine est trop bas.
Grâce à certains antidépresseurs qui agissent comme des inhibiteurs sur les transporteurs de la recapture de la sérotonine, le tôt de sérotonine dans l'espace synaptique augmente.
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Attention petit format
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