Reconnaissance spécifique d'un antigène par un lymphocyte B et fabrication des anticorps - © sophie jacopin
RECONNAISSANCE SPÉCIFIQUE

# 5811

La reconnaissance spécifique d’un type d’antigène grâce aux Lymphocytes B et anticorps.
Le lymphocyte B possède des récepteurs d’antigènes à sa surface
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[peekaboo_content]qui reconnaissent le type d’antigène spécifique à la surface de la bactérie. Les lymphocytes B se multiplient et modifient leur activité pour produire des anticorps spécifiques. Ces anticorps reconnaissent les antigènes et forment un complexe qui neutralisent la bactérie. Le complexe est détruit par la phagocytose. L’infection s’arrête.
Chaque type d’anticorps est spécifique d’un type d’antigène.
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Lymphocyte B et anticorps, le complexe antigène-anticorps - c sophie jacopin
LYMPHOCYTE B ET ANTICORPS

# 5810

Lymphocyte B et anticorps, reconnaissance spécifique d’un type d’antigène.
Le lymphocyte B possède des récepteurs d’antigènes à sa surface
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[peekaboo_content]qui reconnaissent le type d’antigène spécifique à la surface de la bactérie. Les lymphocytes B se multiplient et modifient leur activité pour produire des anticorps spécifiques. Ces anticorps reconnaissent les antigènes et forment un complexe qui neutralisent la bactérie. Le complexe est détruit par la phagocytose. L’infection s’arrête.
Chaque type d’anticorps est spécifique d’un type d’antigène.
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Immunité, réactions immunitaires rapide, lente, vaccination - © sophie jacopin
IMMUNITÉ

# 5805

Immunité ou réactions immunitaires après contamination par bactéries et virus.
De gauche à droite, cette illustration montre les différentes réactions immunitaires de notre organisme après une contamination, soit par une bactérie, soit par un virus.
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[peekaboo_content]La colonne toute à droite explique la réaction immunitaire déclenchée après la vaccination.
Après contamination à un agent pathogène et infection de l’organisme, le système immunitaire s’active de manière différente dans le temps.
Une réaction immunitaire rapide permet le plus souvent de stopper l’infection. Les phagocytes viennent à la rencontre de l’agent pathogène et le phagocytent, l’absorbent pour le détruire. Mais si l’infection persiste, des réactions immunitaires plus lentes font intervenir des lymphocytes spécifiques d’un antigène (en rouge). Les lymphocytes B produisent des anticorps qui neutralisent les antigènes. Les lymphocytes détruisent par contact les cellules infectées par les virus.
Ces réactions immunitaires permettent d’éliminer les agents pathogènes et de stopper l’infection. Certains lymphocytes gardent en mémoire un premier contact avec un antigène. Donc cette mémoire immunitaire rend la réaction immunitaire plus efficace lors d’un deuxième contact avec l’antigène. La vaccination permet à l’organisme d’acquérir durablement une mémoire immunitaire.
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Réactions immunitaires aux virus et bactéries, protection immédiate de l'organisme contre les contaminations et mémoire immunitaire - © sophie jacopin
RÉACTIONS IMMUNITAIRES

# 5804

Réactions immunitaires après contamination par bactéries et virus.
De gauche à droite, cette illustration montre les différentes réactions immunitaires de notre organisme après une contamination, soit par une bactérie, soit par un virus.
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[peekaboo_content]La colonne toute à droite explique la réaction immunitaire déclenchée après la vaccination.
Après contamination à un agent pathogène et infection de l’organisme, le système immunitaire s’active de manière différente dans le temps.
Une réaction immunitaire rapide permet le plus souvent de stopper l’infection. Les phagocytes viennent à la rencontre de l’agent pathogène et le phagocytent, l’absorbent pour le détruire. Mais si l’infection persiste, des réactions immunitaires plus lentes font intervenir des lymphocytes spécifiques d’un antigène (en rouge). Les lymphocytes B produisent des anticorps qui neutralisent les antigènes. Les lymphocytes détruisent par contact les cellules infectées par les virus.
Ces réactions immunitaires permettent d’éliminer les agents pathogènes et de stopper l’infection. Certains lymphocytes gardent en mémoire un premier contact avec un antigène. Donc cette mémoire immunitaire rend la réaction immunitaire plus efficace lors d’un deuxième contact avec l’antigène. La vaccination permet à l’organisme d’acquérir durablement une mémoire immunitaire.
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Micro-organismes-Organisme- iteraction - © sophie jacopin
MICRO-ORGANISMES ET ORGANISME

# 5803

Micro-organismes et organisme une cohabitation entre bactéries et virus et humain. Les bactéries et virus se trouvent dans notre environnement
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[peekaboo_content](air, eau, sol, objets, aliments). Ils sont également présents à la surface de notre corps sur la peau et pénètrent dans notre organisme par les orifices extérieurs, nez, bouche, urètre, vagin et rectum. On retrouve donc des micro-organismes dans les muqueuses des cavités nasales, buccales, les poumons, l’œsophage et l’estomac, l’appareil intestinal et des organes pelviens.
Notre corps est donc habité par des micro-organismes. Cette cohabitation avec certains est très bénéfique comme le microbiote intestinal. La peau et les muqueuses forment une barrière contre les micro-organismes pathogènes chez une personne en bonne santé. Les légendes sur cette illustration indiquent la quantité de micro-organismes présents dans les différentes régions du corps.
micro-organismes; micro-organisme; porte d’entrée; organisme; humain; corps; silhouette femme; microbiote; bactérie; virus; peau; muqueuse; cavité nasale; cavité buccale; œsophage; estomac; poumon; trachée; bronche; intestins; vessie; urètre; utérus; côlon; agent non pathogène; agent pathogène
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Organisme et micro-organismes, quantité de bactérie et de virus à la surface et à l'intérieur du corps - © sophie jacopin
ORGANISME ET MICRO-ORGANISMES

# 5802

Organisme et micro-organismes une cohabitation entre humain et bactéries et virus. Les bactéries et virus se trouvent dans notre environnement
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[peekaboo_content](air, eau, sol, objets, aliments). Ils sont également présents à la surface de notre corps sur la peau et pénètrent dans notre organisme par les orifices extérieurs, nez, bouche, urètre, vagin et rectum. On retrouve donc des micro-organismes dans les muqueuses des cavités nasales, buccales, les poumons, l’œsophage et l’estomac, l’appareil intestinal et des organes pelviens.
Notre corps est donc habité par des micro-organismes. Cette cohabitation avec certains est très bénéfique comme le microbiote intestinal. La peau et les muqueuses forment une barrière contre les micro-organismes pathogènes chez une personne en bonne santé. Les légendes sur cette illustration indiquent la quantité de micro-organismes présents dans les différentes régions du corps.
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Portes d'entrée des micro-organismes dans l'organisme - © sophie Jacopin
PORTES D’ENTRÉE DES MICRO-ORGANISMES

# 5800

Portes d’entrée des micro-organismes dans l’organisme humain, bactéries, virus. La partie de l’illustration sur les 2/3 gauche explique que les bactéries et virus se trouvent dans notre environnement (air, eau, sol, objets, aliments).
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[peekaboo_content]Ils sont également présents à la surface de notre corps sur la peau. Ils pénètrent dans notre organisme par les orifices extérieurs, nez, bouche, urètre, vagin et rectum. On retrouve donc des micro-organismes dans les cavités nasales, buccales, les poumons, l’œsophage et l’estomac, l’appareil intestinal et les portes de sortie des organes pelviens. Ils peuvent traverser la barrière de la peau et pénétrer l’organisme par une plaie, mais également par les muqueuses.
Notre corps est donc habité par des micro-organismes. Cette cohabitation avec certains est très bénéfique comme le microbiote intestinal. D’autres sont néfastes et le contaminent, se multiplient, déclenchant des infections.
Pour remédier à cela, il existe plusieurs méthodes de protection et de luttes illustrées simplement sur la partie droite de ce dessin. Avant contamination, on peut utiliser à but préventif, des produits pour nettoyer la peau (savon, gel hydroalcoolique). Ceci permet de désinfecter la peau (asepsie). Un autre moyen de prévention est l’utilisation de préservatifs.
Après contamination, on peut utiliser un ensemble de procédés pour lutter contre la propagation des micro-organismes. C’est l’antisepsie.
Après multiplication des micro-organismes dans le corps, on peut utiliser des antibiotiques, uniquement pour lutter contre les bactéries.
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Micro-organismes et organisme, l'interaction entre les deux - © sophie jacopin
MICRO-ORGANISMES-ORGANISME – INTERACTION

# 5801

Micro-organismes et organisme, l’interaction, bactéries, virus. La partie de l’illustration sur les 2/3 gauche explique que les bactéries et virus se trouvent dans notre environnement (air, eau, sol, objets, aliments).
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[peekaboo_content]Ils sont également présents à la surface de notre corps sur la peau. Ils pénètrent dans notre organisme par les orifices extérieurs, nez, bouche, urètre, vagin et rectum. On retrouve donc des micro-organismes dans les cavités nasales, buccales, les poumons, l’œsophage et l’estomac, l’appareil intestinal et les portes de sortie des organes pelviens. Ils peuvent traverser la barrière de la peau et pénétrer l’organisme par une plaie, mais également par les muqueuses.
Notre corps est donc habité par des micro-organismes. Cette cohabitation avec certains est très bénéfique comme le microbiote intestinal. D’autres sont néfastes et le contaminent, se multiplient, déclenchant des infections.
Pour remédier à cela, il existe plusieurs méthodes de protection et de luttes illustrées simplement sur la partie droite de ce dessin. Avant contamination, on peut utiliser à but préventif, des produits pour nettoyer la peau (savon, gel hydroalcoolique). Ceci permet de désinfecter la peau (asepsie). Un autre moyen de prévention est l’utilisation de préservatifs.
Après contamination, on peut utiliser un ensemble de procédés pour lutter contre la propagation des micro-organismes. C’est l’antisepsie.
Après multiplication des micro-organismes dans le corps, on peut utiliser des antibiotiques, uniquement pour lutter contre les bactéries.
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aspergillus - © sophie jacopin
ASPERGILLUS

# 5743

Aspergillus, champignon à spores responsable d’infections fongiques.
Ce champignon filamenteux, de type moisissure, dont la colonie se présente sous forme duveteuse cause des pathologies appelées aspergilloses.
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[peekaboo_content]Les aspergilloses nécessitent un traitement antifongique.
Les 4 principaux types de la maladie de l’aspergillose sont la sinusite aspergillaire, l’aspergillose broncho-pulmonaire allergique, l’aspergillome et l’aspergillose invasive diffuse.
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Sida-Duplication-2047
SIDA-DUPLICATION

# 2047

Représentation de la pénétration et de la duplication du virus du sida grâce à une cellule hôte CD4. Le virus pénètre la cellule, son code génétique se fixe à l'ADN de la cellule

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[peekaboo_content] ce qui oblige cette dernière à fabriquer tous les éléments constituant le virus. Ces éléments se rassemblent à la surface de la cellule hôte pour former de nouveaux virus du sida modifiés.
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Sida-Duplication-5666
SIDA-DUPLICATION

# 5666

Représentation de la pénétration et de la duplication du virus du sida grâce à une cellule hôte CD4. Le virus pénètre la cellule, son code génétique se fixe à l'ADN de la cellule

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[peekaboo_content] ce qui oblige cette dernière à fabriquer tous les éléments constituant le virus. Ces éléments se rassemblent à la surface de la cellule hôte pour former de nouveaux virus du sida modifiés.
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Flore intestinale
FLORE INTESTINALE

# 5485
 

Représentation de la flore intestinale au contact des cellules épithéliales des villosités dans la lumière intestinale.
La flore intestinale est constituée de bactéries (bonnes bactéries),

[peekaboo_link] afficher la suite de la description[/peekaboo_link][peekaboo_content]qui facilitent la digestion, stimulent le système de défense immunitaire et renforcent la barrière intestinale.
Ici, il y a déséquilibre entre les mauvaises bactéries en plus grand nombre (clostridium et desulfovibrio; vertes et bleues) et les bonnes (lactobaciles; roses).

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